CDLCEI
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Mourir fait partie de la vie. Et ceux qui ont peur de la mort sont aussi ceux
qui ont peur de vivre.
C'est un thème classique de nos divers penseurs.
Nous le retrouvons chez Montaigne, Nietzsche, Sénèque (CARSCS
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). Et bien d'autres.
Il est dommage que cette idée ne soit pas plus
démocratisée.
Ça éviterait peut-être l'appât du gain
inconsidéré de certains cupides; comme
si les grosses fortunes rendaient éternel.
Ces grigous monopolisent les efforts des autres à leur seul
intérêt.
Ils recréent un esclavage moderne ou un apartheid social. Ils divisent la
société en deux parties: les laborieux et ceux qui en profitent.
Le pouvoir
politique
(1)
, soumis à l'argent, essaie de maintenir la "paix sociale" au profit des
nantis.
L'idée de la fin de la vie devrait donner à
réfléchir à tous nos
"pseudo-maîtres", qui se croient supérieurs
aux autres (dictateurs, grands patrons, pape
(2)
, acteurs célèbres).
(1) De droite ou prétendu de gauche.
(2) Sauf Benoit XVI qui m'a surpris par sa lucidité.